rastapoupoulos est trés souvent dans les épisode de tintin mais pas trés méchant mais mon episode préferer c est le lac au recquins .
Je pense que Rastapopoulos est présent dans la version moderne de Tintin en Amérique.
Il a un raté comme assistant (Allan Thompson). Rastapopoulos se ridiculise dans vol 714 pour Sydney en tenant tête à Carreidas se disputant le titre de génie du mal. Ou Allan a raison est que son patron a un nez de nasique. Enfin on suppose que Rastapopoulos triomphe de Tintin dans l'Alph-art. Sauf si l'on se réfère à la version d'Yves Rodier ou Tintin gagne une fois de plus la partie.
ha ce rastapopoulos est fort mais n a la jamais tuer .
@haddocknrol : merci pour ton intervention ... il est possible que cette Mary Pickford, assez mal caricaturée par Hergé, convenons-en, quand on considère les photographies figurant dans Wikipedia (!) et dont la présence s'explique par la passion qu'Hergé avait du cinéma, figure aux côtés de son agent, d'un producteur, d'un réalisateur ou d'un metteur en scène (sûrement pas de son second mari, Douglas Fairbanks : ils étaient déjà séparé en 1931-32, années d'élaboration de "Tintin en… voir la suite
@haddocknrol : merci pour ton intervention ... il est possible que cette Mary Pickford, assez mal caricaturée par Hergé, convenons-en, quand on considère les photographies figurant dans Wikipedia (!) et dont la présence s'explique par la passion qu'Hergé avait du cinéma, figure aux côtés de son agent, d'un producteur, d'un réalisateur ou d'un metteur en scène (sûrement pas de son second mari, Douglas Fairbanks : ils étaient déjà séparé en 1931-32, années d'élaboration de "Tintin en Amérique") ... Mais je persiste (et "signe") dans ma certitude qu'il ne s'agit pas de Rastapopoulos pour les raisons déjà précédemment exposées ...
Les deux "vignettes" de la version originale, en page 110, démontrent, à mon sens, que ce personnage, dans la pensée d'Hergé, n'était pas destiné à reparaître sous les traits de Rastapopoulos ... Dans la première "vignette", on le distingue nanti d'une chevelure en "V" ... laquelle a disparu en la vignette suivante ... Il corrigera cette erreur dans la version colorée, parue en 1946, très postérieurement à la situation dont question ... Il s'agit dès lors bien, selon l'expression employée par Wikipedia, en son article consacré à Rastapopoulos, d'un "archétype" de ce dernier (du grec "arkhetupon" et du latin "archetypos" : "modèle primitif", "modèle original") ... Cela ne saurait étonner sous la plume d'Hergé : l'ingénieur Legrand dans "Jo, Zette et Jocko" présente des traits annonçant directement Muskar XII, roi de Syldavie ... De même, "Tom", l'ignoble crapule dans "Tintin au Congo", annonçant lointainement ... le capitaine Haddock ... Et que dire de "l'agent n° 15" dans "Quick et Flupke", si semblable à Dupont ... ?
Un autre argument plaide également contre cette possibilité d'une apparition primitive en ce que ce supposé "Rastapopoulos" (dont, assurément, la carrière criminelle est antérieure aux "Cigares du Pharaon") ne participe manifestement pas à l'enlèvement de Tintin organisée par le Président du "Comité Central d'Aide et de Secours aux Gangsters Nécessiteux" ... ? On ne le voit figurer NULLE PART dans cette Assemblée interlope de bandits (page 109 de la version primitive - page 57 de la version finale, colorée) ... Assurons-nous que s'il s'agissait vraiment de Rastapopoulos, sa carrière criminelle tout aussi menacée par "l'épuration" menée contre la globalité des gangsters de Chicago l'aurait fait participer directement et pleinement aux tentatives d'élimination de "l'ange exterminateur" Tintin ...
@nicol, une petite analyse qui pourrait éventuellement faire penser que Rastapopoulos était bien au banquet dans Tintin en Amérique:
1) La ressemblance frappante du personnage avec Rastapopoulos
2) A côté de Tintin se trouve une jeune femme blonde qu'une invitée, dans le Tintin en noir et blanc, n'hésite pas à critiquer en l'appelant Marie Pikefort. Or, Mary Pickford, une actrice américano-canadienne du cinéma muet des années 1910 à 1930 a existé, et était même une célébrité mondialement… voir la suite
@nicol, une petite analyse qui pourrait éventuellement faire penser que Rastapopoulos était bien au banquet dans Tintin en Amérique:
1) La ressemblance frappante du personnage avec Rastapopoulos
2) A côté de Tintin se trouve une jeune femme blonde qu'une invitée, dans le Tintin en noir et blanc, n'hésite pas à critiquer en l'appelant Marie Pikefort. Or, Mary Pickford, une actrice américano-canadienne du cinéma muet des années 1910 à 1930 a existé, et était même une célébrité mondialement connue, femme entre autre de Douglas Fairbanks et habituée aux dîners somptueux donnés par la Maison Blanche et par elle même
dans sa somptueuse villa d'Hollywood.
Rien d'étonnant alors à ce qu'elle figure aux côtés de Tintin et qu'elle soit accompagnée de son producteur, pourquoi pas peut-être, et je dis bien peut-être, Rastapopoulos.
Qu'en penses tu?
"Rastapopoulos, nom à consonance grecque. Roberto, prénom à consonance italienne" ... Dès lors, se pose toujours la question de sa nationalité ... Inutilement d'ailleurs car Hergé y a clairement répondu ... On trouve à la fin du "Lotus bleu", en la planche 119 parue dans "Le Petit Vingtième" n° 40 en date du 03 octobre 1935, en cet extrait de l'article de presse rapportant la délivrance du professeur Fan Se-Yeng, cette claire référence :
"Le Lotus bleu était… voir la suite
"Rastapopoulos, nom à consonance grecque. Roberto, prénom à consonance italienne" ... Dès lors, se pose toujours la question de sa nationalité ... Inutilement d'ailleurs car Hergé y a clairement répondu ... On trouve à la fin du "Lotus bleu", en la planche 119 parue dans "Le Petit Vingtième" n° 40 en date du 03 octobre 1935, en cet extrait de l'article de presse rapportant la délivrance du professeur Fan Se-Yeng, cette claire référence :
"Le Lotus bleu était de plus le siège central d'une bande supérieurement organisée pour le trafic des stupéfiants.
A la tête se trouvait deux étrangers, un gros négociant japonais de Shanghaï, M. Mitsuhirato et UN SUJET GREC, M. Rastapopoulos, directeur d'une puissante compagnie cinématographique, la "Cosmos Pictures". (je souligne) ...
Quant à sa prétendue apparition dans "Tintin en Amérique" (TEA, 57-III) ... RIEN ne permet de la confirmer ... hormis une ressemblance physique ... Par delà mon argumentation dans mon intervention du 10 décembre 2019, voici ce qu'on peut trouver, relativement à la question, dans Wikipedia :
"Un personnage ressemblant à Rastapopoulos apparaît également dans une case de Tintin en Amérique, album antérieur aux Cigares du pharaon, mais, le personnage en question n'étant pas nommé, seule cette ressemblance permet à certains tintinologues de l'identifier comme Rastapopoulos. On notera toutefois qu'il porte le monocle à gauche, et non à droite comme le fait l'authentique Rastapopoulos. Il pourrait s'agir d'un simple archétype d'Hergé."
Ce monocle se retrouve porté à droite (et non à gauche) à chaque apparition de Rastapopoulos et se remarque une dernière fois sur la reproduction de son visage en le fameux article de presse de la planche 119 susmentionnée ...
Voici qui me paraît CLAIR !!!
Je ne savait pas qu'il était dans Tintin en Amérique
Même s'il y a une incontestable ressemblance, je ne parviens pas à me convaincre que Rastapopoulos fasse cette "apparition anonyme" dans "Tintin en Amérique" ... A PREUVE :
1° le fait que, sur l'Epomeo, lors de leur altercation à propos de Philémon Siclone, nous "entendons" Rastapopoulos, fou de rage, éructer : "Espèce de freluquet, de quoi vous mêlez-vous ? Vous ne savez pas à qui vous avez affaire"(CDP, 4-I-3) ;
2° cette "auto-présentation" :… voir la suite
Même s'il y a une incontestable ressemblance, je ne parviens pas à me convaincre que Rastapopoulos fasse cette "apparition anonyme" dans "Tintin en Amérique" ... A PREUVE :
1° le fait que, sur l'Epomeo, lors de leur altercation à propos de Philémon Siclone, nous "entendons" Rastapopoulos, fou de rage, éructer : "Espèce de freluquet, de quoi vous mêlez-vous ? Vous ne savez pas à qui vous avez affaire"(CDP, 4-I-3) ;
2° cette "auto-présentation" : Vous regretterez un jour de vous être mis en travers de mon chemin : sachez que mon nom est Rastapopoulos" (CDP, 4-II-1) ;
3° l'auto questionnement de Tintin : "Rastapopoulos ?... Rastapopoulos ?... Ah ! j'y suis : c'est le milliardaire, le directeur de la célèbre firme de cinéma "Cosmos Pictures" (CDP, 4-II-2) ;
Tout ceci se situe en contradiction avec cette fameuse case TEA, 57-III ... Si Tintin avait réellement et si étroitement voisiné avec ledit Rastapopoulos, il lui aurait été assurément présenté, alors ...
De même, par la suite, dans le désert, il n'y a pas la MOINDRE allusion (même indirecte ... même accidentelle) de cette supposée "première rencontre" ...
Et ce ne sont pas les termes du message en CDP, 4-II-3 ("papyrus. Attention ! Il a fait la connaissance d'un jeune journaliste dont il faut se méfier.") qui peuvent constituer un argument contraire ...
J'adore Rastapopoulos dans l'album le Vol 714 pour Sydney, il me fait rire !
Entièrement d'accord : Rastapopoulos est cruel même s'il n'agit pas directement en se servant de ses hommes. Notons que Greg aura dressé un excellent portrait du personnage dans Tintin et le lac aux requins.
C'est un des pires ennemis de tintin.Et il est cruel.
Il est certain que Rastapopoulos fasse partie des méchants qui s'en sorte le mieux malgré ses activités malfaisantes. On remarquera que dès les Cigares du Pharaon qu'à chaque fois que Tintin croise ce personnage il lui arrive des ennuis.
Il est arrêté par les deux policiers Dupondt sur le navire qui doit l'emmener en Chine,
Il retourne à bord du boutre et découvre les activités du capitaine qui n'est autre que Henri De Monfreid avant d'être pris de nouveau par les deux policiers
Il est… voir la suite
Il est certain que Rastapopoulos fasse partie des méchants qui s'en sorte le mieux malgré ses activités malfaisantes. On remarquera que dès les Cigares du Pharaon qu'à chaque fois que Tintin croise ce personnage il lui arrive des ennuis.
Il est arrêté par les deux policiers Dupondt sur le navire qui doit l'emmener en Chine,
Il retourne à bord du boutre et découvre les activités du capitaine qui n'est autre que Henri De Monfreid avant d'être pris de nouveau par les deux policiers
Il est hébergé par Rastapopoulos mais le lendemain on lui tire dessus quand il traverse le désert entraînant la perforation de sa gourde et Tintin manque de peu de mourir de soif avant d'arriver à La Mecque.
Dans le Lotus Bleu version noir et blanc Tintin et Rastapopoulos dont dans le même hôtel : l'European Palace Hôtel à Shanghai (établissements différents dans la version couleurs). Quand Tintin enquête au sujet de Fan Se Yeng on apprend lors d'un coup de fil donné à Dawson que le portier de l'établissement n'avait pas averti un de ses hommes à temps. Notons que dans l'hôtel où se trouve Tintin au début du récit celui-ci se voit privé mais de manière providentielle d'une pause thé, ce dernier contenant un somnifère et Rastapopoulos n'est pas du tout étranger à cela.
N'oublions pas la coupure de courant dans Tintin en Amérique entraînant son enlèvement.
Remarquons aussi que le navire de croisière où Tintin fait escale à Port Saïd n'est autre que celui dont Rastapopoulos est propriétaire, bien avant qu'il détienne un autre navire dans Coke en Stock : le Shéhérazade.
On remarquera que Hergé a su nous mettre sur la piste au sujet de Rastapopoulos avant que Tintin découvre sa véritable identité.
Rastapopoulos est méchant tintin doit se venger de lui
Il y a plus violent que Rastapopoulos : le Docteur Müller qui n'hésite pas à en venir aux mains. Les bagarres dans l'île Noire dans sa villa et dans sa maison près de Wadesdah sont mémorables.
On notera d'autres bandits très réussis parmi la bande de Rastapopoulos que sont Le méchant fakir et Mitsuhirato.
C'est bien dommage que Allan Thompson n'ait pas droit à un article comme Müller ou Rastapopoulos. Il fait partie des meilleurs méchants que Hergé ait créé. Il a la particularité d'être marin, de porter une casquette et aussi d'être énergique et courageux...avant d'avoir un statut de gaffeur dans Vol 714 pour Sydney allant jusqu'à parler du nez du nasique à Rastapopoulos.
L'ennemi juré de Tintin, il aurait même pu être encore plus "grand" en apparaissant dans quelques albums supplémentaires...
Un des bandits qu'on apprécie dans Tintin. Il est au Reporter ce que Par Hibulaire est à Mickey, son pire ennemi comme le De Müller.