Effectivment c'est bien ça! il m'a fallu moins d'une minute pour trouver
ma réponse est un peu tardive mais il s'agit du "Crabe aux pinxes d'or". Il poursuit Allan Thompson
Je suppose que d'ici aujourd'hui tu as trouvé
Bonsoir ou bonjour,
Je souhaite connaître le nom de l'album de Tintin où Tintin poursuit "les méchants" en canot à moteur de style Riva ? S.V.P.
Il s'en suit une bataille acharnée entre les occupants des deux canots. J'aimerai pouvoir retrouver cette référence aux bateaux de la firme Riva qui d'après la page Wikipédia : la liste des bateaux dans Tintin, n'y figure pas ! À moins que je n'ai pas les yeux en face des trous. J'ai besoin de cette information pour un travail qui m'occupe ces… voir la suite
Bonsoir ou bonjour,
Je souhaite connaître le nom de l'album de Tintin où Tintin poursuit "les méchants" en canot à moteur de style Riva ? S.V.P.
Il s'en suit une bataille acharnée entre les occupants des deux canots. J'aimerai pouvoir retrouver cette référence aux bateaux de la firme Riva qui d'après la page Wikipédia : la liste des bateaux dans Tintin, n'y figure pas ! À moins que je n'ai pas les yeux en face des trous. J'ai besoin de cette information pour un travail qui m'occupe ces jours ci. Merci d'avance et merci beaucoup. Je suis nouveau sur le site et heureux d'appartenir à ce club d'amateur(trice)s éclairé(e)s.
Où ou Comment Puis je trouver La Traduction des Phylactères de la Femme au Puit qui enlève le Voile de Haddock , dans Coke en Stock ? J'aimerai savoir ce qu'elle dit la femme . SVP. Merci.
"Coke en Stock" enregistre le "retour" d'Abdallah, matérialisé d'emblée par "le coup du sceau", placé en équilibre instable entre le mur d'entrée et la porte du château de Moulinsart entr'ouverte, comment ne pas se référer aux commentaires lapidaires d'Albert Algoud consacrés à "l'enfant démoniaque, apparu pour la première fois dans Tintin au pays de l'or noir" dans son "Dictionnaire amoureux de Tintin" ?
"Concentré proche-oriental de… voir la suite
"Coke en Stock" enregistre le "retour" d'Abdallah, matérialisé d'emblée par "le coup du sceau", placé en équilibre instable entre le mur d'entrée et la porte du château de Moulinsart entr'ouverte, comment ne pas se référer aux commentaires lapidaires d'Albert Algoud consacrés à "l'enfant démoniaque, apparu pour la première fois dans Tintin au pays de l'or noir" dans son "Dictionnaire amoureux de Tintin" ?
"Concentré proche-oriental de Quick et Flupke, mais en beaucoup plus cruel que les deux gamins bruxellois" ;
"Préfiguration des enfants hyper gâtés, , survalorisés et surprotégés de l'ère Dolto" (allusion à Françoise Dolto, pédiatre et psychanalyste, traumatisée par sa mère en son enfance et adolescence, spécialisée pour la cause en la psychanalyse des enfants (ben voyons !), compensant sa propre névrose en "fabriquant" des générations névrotiques ;
Rejeton de l'émir Ben Kalish Ezab, secrètement détesté du gamin selon le pertinent diagnostic de Jean-Marie Apostolidès, "à la fois l'émir et la mère, concentrant à lui tout seul toutes les permissivités paternelles et maternelles" ... "pourquoi alors, cet amour démesuré pour cet enfant, comme s'il était unique ? Mystère et boule de gomme ! A moins que ce gamin ne soit réellement diabolique car possédé du démon et n'exerce donc sur son père une séduction aveuglante". Dans "l'Or noir", Tintin, puis Haddock, "ont fini par craquer d'une manière qui aujourd'hui leur attirerait les foudres de certains pédagogues" (pas seulement, la gifle et la fessée, étant désormais considérées comme des "délits" !) ...
Au vu du "coup du sceau" (CES, 4-III-2 et 3) - au demeurant, une de mes vignettes préférées ! -, il n'est que de mesurer la manière dont Abdallah a si malignement prémédité son "coup" à destination de son "cher Milsabor" (soyons assuré qu'il guettait le retour du capitaine puisque Milou, gémissant lamentablement, engoncé dans son bonnet et sa cape - on peut regretter qu'il ne l'ait pas mordu sauvagement ! -, est "délégué" préventivement, aux fins de "neutraliser" Tintin (CES, 4-II-2 et 3) ), pour convenir de sa méchanceté intrinsèque (son visage, négatif, en porte témoignage) ...
Cela n'empêchera pas Haddock, à l'exemple de l'Emir, de RE tomber dans le panneau de l'attendrissement au reçu du "coucou-horloge" , de susurrer un "brave petit cœur, va !" que mouille une larme attendrie - CES, 5-III-2 -, avant que d'être (à nouveau) copieusement "compissé" par le "cadeau", truqué ... En "virtuose" averti, à l'exemple des gamins de m ... de son espèce appelant "à l'aide" leur "papa" ou se réfugiant dans les jupes de leur "maman", Abdallah pourra alors utiliser son "avertisseur favori" - WOIN ! WOIN ! - pour qu'accourt à son "secours" Hassim, le "substitut" de son père : "Toi pas toucher au fils de mon Emir !" ...
"Avec Abdallah, Hergé a créé un type dont le nom, passé dans le langage courant, et pas seulement chez les tintinophiles, sert à désigner un môme mal élevé et horriblement capricieux." ... Et Albert Algoud de s'empresser d'ajouter avec à propos ("multiculturalisme" oblige !) : "Et, de grâce, que des esprits chagrins ne s'avisent pas de voir là de l'islamophobie" ... De fait, outre Abdallah, il n'est que de considérer la sinistre "tribu Lampion", illustrée en "L'Affaire Tournesol" (AT, 61-II-3 ... 61-IV-1 ... 62-IV-2) ET "Vol 714 pour Sydney" (60-I-2) pour s'aviser de la réalité des conséquences NEFASTES de "l'effet Dolto" sur les générations d'enfants "cobayes" ...
Aujourd'hui, la vignette de la rencontre "explosive" entre Haddock et Alcazar (CES, 1-IV-3) m'inspire ce constat que "Coke en Stock", un des CHEFS-d'oeuvre de Hergé, réalise une synthèse embrassant l'univers tintinien. Ainsi que le constate Jean-Marie Apostolidès, Hergé crée des "liaisons entre les principaux témoins du passé de Tintin et des êtres ou des univers considérés naguère séparément" ... "Seulement, ce n'est plus Tintin qui est le centre du monde,… voir la suite
Aujourd'hui, la vignette de la rencontre "explosive" entre Haddock et Alcazar (CES, 1-IV-3) m'inspire ce constat que "Coke en Stock", un des CHEFS-d'oeuvre de Hergé, réalise une synthèse embrassant l'univers tintinien. Ainsi que le constate Jean-Marie Apostolidès, Hergé crée des "liaisons entre les principaux témoins du passé de Tintin et des êtres ou des univers considérés naguère séparément" ... "Seulement, ce n'est plus Tintin qui est le centre du monde, c'est Rastapopoulos." (...) Tintin traversant "cette aventure comme un voyageur sans bagage, ne faisant que de brèves rencontres avec des êtres que naguère il côtoyait longuement."
D'une part, à la SEULE exception du Senhor Oliveira (et de Szut, un "méchant accidentel" se muant en "bon" authentique), des "bons" qui n'ont plus de "bon" que l'apparence, contraste faisant état de ce réalisme qui deviendra de plus en plus "doux-amer", pessimiste, de Hergé) :
a) l'Emir Ben Kalish Ezab, que n'émeut en RIEN le trafic d'esclaves, et son choléra de fils Abdallah aux caprices ... inhumains ;
b) Alcazar, mentant effrontément à Tintin (elle est loin la sympathie qui émanait du personnage dans "Les 7 Boules de Cristal"), adonné qu'il est à la reconquête du Pouvoir ;
c) la Castafiore, personnage public en tant que cantatrice, compromise avec le Mal (l'ignorance la rachète encore en attendant "l'Alph-Art" !), en l'occurrence, le pseudo marquis di Gorgonzola ...
De l'autre, des méchants VRAIMENT méchants, insérés dans la hiérarchie à rebours présidée par Rastapopoulos dont c'est le "grand retour", ayant réintégré, en dépit d'un "passé plutôt chargé" (CES, 36-III-1) une "gentry" d'êtres vains et stériles : aristos, bourgeois en cols blancs (dont on peut se demander s'ils sont aussi immaculés qu'ils paraissent être), "vedettes", tous fascinés par son "charme" méphistophélique et par le luxe dont il fait complaisamment étalage :
a) Dawson, EX Ripou échappé de la Concession Internationale de Shanghaï, type achevé du SALOPARD en col blanc et cravate, "honoré" dans les hôtels "chics" de la capitale belge, présidant aux "destinées" d'un juteux trafic de vieux matériel de guerre dont la clientèle diversifiée se le partage entre le Sheik Bab El Ehr et/ou Alcazar ;
b) Müller, alias "Mull Pacha", ayant - HELAS ! - perdu de son charisme (pourtant TRES supérieur à celui de Rastapopoulos), n'exerçant plus que des fonctions de chef d'Etat major du Sheik Bab El Ehr ; à ce titre, indirectement en relation avec Dawson ;
c) Walter, homme de main de Rastapoulos, faisant glisser, d’accord avec Müller, la machine infernale dans la soute à bagages du DC3 ;
d) Allan, type achevé du malfrat-mercenaire, commandant d'un des bâtiments du commerce d'esclaves Noirs mis au point par Rastapopoulos ;
C'est pourquoi, je ne saurais partager le constat développé dans le divertissant "Colloque de Moulinsart" pour qui "Coke en Stock est d'une "complexité démesurée", "fort déboîté dans son ensemble" (à commencer par son titre), "mal construit", au "scénario lourd et complexe", "se terminant en queue de poisson", le "quantitatif l'emportant sur le qualitatif" ... D'où, une conclusion lapidaire : "la synthèse échoue" !!!
En fait, loin "d'échouer", "Coke en stock" amplifie le PESSIMISME encore "souriant" du Hergé de l'après guerre (mais d'un sourire déjà crispé), entrevu pour la première fois dans "l'Affaire Tournesol", et qui ne fera que s'amplifier dans "Vol 714 pour Sydney", "Tintin et les Picaros" et "L'Alph Art" ...
Dans Coke en stock, Tintin est rapidement plongé au coeur de l'action par leur atterissage forcé de l'avion et tout ce qui s'en suit mais plus rapidement encore par l'arrivé d'Abdallah à Moulinsart.
A remarquer que cet album au scénario "bien ficelé" (peut-être mon préféré car un des plus aboutis et remarquablement documenté) débute par le mot... "FIN" (1A1) et se termine par le mot "START" dans l'ultime (grande) vignette, en bas des escaliers, à Moulinsart, devant l'Alfa n°2, derrière le "contrôle" !!! (vignette où apparaissent tout de même une seconde fois les trois lettres du mot "fin"...)
Pas faux ! Mais il n'est pas impossible que Rastapopoulos soit passionné pour Molière.
@jacquesherve : je ne pense certes pas que Rastapopoulos "se passionne pour Molière". Ainsi que l'écrit Jean-Marie Apostolidès dans "Les Métamorphoses de Tintin" :
"Tout devient signe, jusqu'à la culture classique dont fait étalage le pseudo-marquis di Gorgonzola : les œuvres de Molière sont une reliure vide qui dissimule le code secret grâce auquel il communique avec ses complices" ...
Tout est effectivement du domaine du ... "cinéma" que cet… voir la suite
@jacquesherve : je ne pense certes pas que Rastapopoulos "se passionne pour Molière". Ainsi que l'écrit Jean-Marie Apostolidès dans "Les Métamorphoses de Tintin" :
"Tout devient signe, jusqu'à la culture classique dont fait étalage le pseudo-marquis di Gorgonzola : les œuvres de Molière sont une reliure vide qui dissimule le code secret grâce auquel il communique avec ses complices" ...
Tout est effectivement du domaine du ... "cinéma" que cet ancien propriétaire de la "Cosmos Pictures" (par la bouche de l'Emir Ben Kalish Ezab, on apprend néanmoins que, sous cette fausse identité, il est toujours "propriétaire de chaînes de journaux, de radio et de télévision, propriétaire de firmes cinématographiques ..." - CES, 31-IV-1 -) donne aux "altesses, duchesses, vedettes, et patati et patata" (CES, 40-I-2) de son bal masqué ... cette "gentry" d'êtres vains et stériles, aristos, bourgeois en cols blancs (dont on peut se demander s'ils sont aussi immaculés qu'ils paraissent être), "vedettes" (dont la Castafiore ... encore nimbée de cette naïve innocence qu'elle aura définitivement perdue dans "L'Alph-Art" !), tous fascinés par son "charme" et par le luxe dont il fait complaisamment étalage ... la page 36 de l'album démontrant à suffisance à quel point Hergé méprisait ce monde "bling-bling" de vanités et de fausses apparences et combien il avait raison de le mépriser.
La manière dont est suggérée la dimension mystérieuse de l'hôte du "Shéhérazade" se parant du titre de "marquis" (à ce moment, on ignore encore qu'il est à la fois "di Gorgonzola" et ... Rastapopoulos) et la fausseté de sa prétendue "culture classique" n'est certes pas due "au hasard" ... Considérons les deux vignettes 36-IV2 et 3 : sur la première, on le voit consulter son code secret recouvert d'une anonyme reliure bleue ... soudainement, sur la deuxième, un changement de perspective nous fait entre-apercevoir le nom de Molière ...
Par le biais de cette fausse reliure (*) est concentrée la dimension ... "méphistophélique" du personnage (au point qu'il le signe en s'affublant d'un déguisement de l'espèce pour le bal costumé !) doué au plus haut degré de cette faculté de dissimulation par laquelle il dupe tous ceux qui le côtoie (Tintin, comme tout un chacun, dans "Les Cigares du Pharaon" !) et cette séduction grâce à laquelle il est qualifié "d'hôte délicieux" et "de véritable gentilhomme" par l'aréopage du "Shéhérazade" !!!
(*) à cet égard, la mention de "Molière" n'est peut-être pas due "au hasard" : Jean-Marie Apostolidès établit une pertinente analogie entre la confiance envers Rastapopoulos dans laquelle se fourvoie Tintin dans "Les Cigares" et "Le Lotus" et le modèle de "L’École des femmes" où "Horace se confie complaisamment à Arnolphe en qui il ne reconnaît pas le rival qu'il cherche à vaincre" (in, Les Métamorphoses de Tintin, p. 83) ...
À remarquer que Rastapopoulos se passionne pour Molière tout en étant en contact avec ses complices.
N'oublions pas que Hergé avait été visionnaire page 61 lorsque le Professeur Tournesol montre à nos amis son invention : les patins à roulettes motorisés, ancêtres des Rollers ou trotinettes électriques qui comme le souligne le capitaine Haddock posent des problèmes quant à la réglementation de la circulation sur la voie publique.... qui est d'actualité.
Tintin a eu raison de le corriger car cet homme qui pleure pour un parachute est un égoïste qui ne regarde que son nombril et n'a pas du tout conscience du danger qui menace les autres occupants de l'appareil allant jusqu'à embêter le pilote qui doit effectuer une manœuvre difficile pour sauver tout le monde. Notons une certaine politesse quand il dit ''avec toutes mes excuses'' !
"J'adore" la vignette du concours de ce jour (CES, 18-III-1) où l'on voit Tintin casser la SALE GUEULE du passager trouillard ... se donnant des airs de "dur" (son menton proéminent ... ses mâchoires "carrées" .... ses lèvres minces ... son faciès d'ancien boxeur) alors qu'en réalité il n'est qu'un LÂCHE !!!
Comment ne pas regretter que Haddock n'ait pas eu l'occasion de "régler ses comptes" avec lui avant la fuite clandestine vers Wadesdah avec… voir la suite
"J'adore" la vignette du concours de ce jour (CES, 18-III-1) où l'on voit Tintin casser la SALE GUEULE du passager trouillard ... se donnant des airs de "dur" (son menton proéminent ... ses mâchoires "carrées" .... ses lèvres minces ... son faciès d'ancien boxeur) alors qu'en réalité il n'est qu'un LÂCHE !!!
Comment ne pas regretter que Haddock n'ait pas eu l'occasion de "régler ses comptes" avec lui avant la fuite clandestine vers Wadesdah avec Tintin et Milou ...
À noter que le navire los Angeles à réellement existé. Notons que si celui-ci avait mis à exécution sa menace de tirer si le Shéhérazade n'obeissait pas aurait coûté la vie à des passagers qui n'y sont pour rien dont la Castafiore. Cependant je suis surpris qu'à bord du sous-marin caché dans une coque de canot aucun radar n'ait intercepté Rastapopoulos.
Notons que l'invention du professeur Tournesol n'est autre que l'ancêtre des segways ou autres engins roulants électriques. Hergé était assez… voir la suite
À noter que le navire los Angeles à réellement existé. Notons que si celui-ci avait mis à exécution sa menace de tirer si le Shéhérazade n'obeissait pas aurait coûté la vie à des passagers qui n'y sont pour rien dont la Castafiore. Cependant je suis surpris qu'à bord du sous-marin caché dans une coque de canot aucun radar n'ait intercepté Rastapopoulos.
Notons que l'invention du professeur Tournesol n'est autre que l'ancêtre des segways ou autres engins roulants électriques. Hergé était assez visionnaire !
Le capitaine aurais pu s'endormir si il avait bu. Mais Hergé a pensé à tout pour sauver nos deux amis.
Avec le coup de la barbe au dessus ou dessous, Allan aura indirectement agi en faveur du capitaine Haddock. En effet, cela aura permis au capitaine de mal dormir et d'entendre le bruit à bord tout en étant enfermé avec Tintin et d'agir à temps pour lutter contre un incendie criminel.
Et vous? La barbe ? Au dessus ou en dessous de
la couette?
Tel est la question...
La dernière vignette est géniale avec les voitures dont une qui détruit une rampe de l'escalier du château. Concernant le bonnet porté par Milou par la faute d'Abdallah il fait réfèrence au Temple du Soleil. Ne s'agirait il pas du bonnet de Zorrino ?
"Qui commence par où les romans finissent" (1er chapitre de "Le parfum de la Dame en noir" de Gaston Leroux) ... GÉNIALE cette manière d'introduire "Coke en Stock", un des MEILLEURS albums de Tintin, avec le mot "FIN" !!! Et combien Hergé a eu MILLE FOIS raison de supprimer les quatre cases originelles et un nouveau "numéro" de ce casse-pieds de Lampion, y allant d'une énième "histoire" de l'oncle Anatole d'un goût plus que douteux et… voir la suite
"Qui commence par où les romans finissent" (1er chapitre de "Le parfum de la Dame en noir" de Gaston Leroux) ... GÉNIALE cette manière d'introduire "Coke en Stock", un des MEILLEURS albums de Tintin, avec le mot "FIN" !!! Et combien Hergé a eu MILLE FOIS raison de supprimer les quatre cases originelles et un nouveau "numéro" de ce casse-pieds de Lampion, y allant d'une énième "histoire" de l'oncle Anatole d'un goût plus que douteux et que Nestor laisse "s'écouler", préférant une lecture à l'EXTRÊME OPPOSE de ces âneries : "Les Pensées" de Pascal !!!
Comme déjà, dans "L’Affaire Tournesol", Hergé, amateur de voitures rapides, leur accorde une place de choix dans "Coke en Stock" … Tout particulièrement à l’occasion de ce rallye burlesque organisé par ce MAÎTRE casse-pieds de Séraphin Lampion, Président du "Volant Club" de son patelin, prétendument pour distraire ce "vieux flibustier" de Haddock et dont "la dernière épreuve … se déroule chez toi !" (CES, 62-II-2 et 3 et III) !!! C’est le même… voir la suite
Comme déjà, dans "L’Affaire Tournesol", Hergé, amateur de voitures rapides, leur accorde une place de choix dans "Coke en Stock" … Tout particulièrement à l’occasion de ce rallye burlesque organisé par ce MAÎTRE casse-pieds de Séraphin Lampion, Président du "Volant Club" de son patelin, prétendument pour distraire ce "vieux flibustier" de Haddock et dont "la dernière épreuve … se déroule chez toi !" (CES, 62-II-2 et 3 et III) !!! C’est le même genre d’intrusion que celle de sa "petite famille" dans "L’Affaire Tournesol" et que chasse la prétendue "scarlatine" du capitaine (AT, 61-IV-2 – 62-IV-3) !!!
Impossible d’identifier toutes les voitures encombrant le parc du château de Moulinsart, en 62-III. Efforçons-nous y, cependant, et citons … « en vrac » de l’en haut à gauche à l’en haut à droite, en une demi courbe en forme d'arche inversée :
1° MG A 1956 – voiture n° 1 ;
2° Porsche 356 A 1956 – voiture n° 8 ;
3° BMW 502 – 1958 – voiture n° 16 ;
4° Cadillac Eldorado Brougham 1957 – voiture n° 17 (celle qui défonce l’escalier d’accès au château … on peut imaginer Haddock, déjà "en pétard" - c’est le cas de le dire ! - contre le dernier mauvais "coup" - à distance - d’Abdallah et qu’énerve prodigieusement Lampion, écumer littéralement de fureur !!!) ;
5° Alfa Romea Giulietta Berline 1955 – voiture n° 2 ;
6° Messerschmitt Kabinenroller 1953 – numéro invisible ;
7° Mercedes 190 SL – voiture n° 11 (son conducteur fait la sieste) ;
8° Peugeot 403 – voiture n° 3 ;
9° Jaguar Mk I 1956 – voiture rouge au numéro invisible : coin à l’extrême gauche près des deux chiens et la grosse « mémé » en fourrure ;
10° DKW 3=6 1960 – voiture n° 9 ;
11° Plymouth Belvedere 1957 – voiture n° 7 ;
12° Opel Rekord 1955 – voiture n° 10 (la voiture bleue dont le conducteur ouvre la porte) ;
13° Citroën DS 19 1958 – voiture au numéro illisible entre les voitures n° 10 et n° 24 ;
14° Volvo PV 1957 – voiture n° 24 ;
15° Izetta Velam surnommée « pot de yaourt » - voiture n° 4 ;
16° Triumph TR 3a 1957 – voiture n° 36 ;
17° n’oublions SURTOUT PAS (je la réservais pour la fin !) la Citroën 2CV des Dupondt (la bonne vieille « Deuche ») – voiture n° 5 … et qui semble avoir des ennuis mécaniques … ;